Je te loue de me surprendre, quand je suis habitué, de me reprendre,

quand je suis égaré et de me prendre, quand je suis perdu.

Je te loue d’être un Dieu vivant, qui se met en quête de l’homme, non pas un Dieu qui demeure, mais un Dieu qui vient.

Je te loue d’être moins le but que le chemin, moins le terme que la brèche, moins l’horizon que la marche. Dieu vivant, tu es vivifiant.