« Ce serait se fourvoyer que de croire être propriétaire. Rien ne nous appartient. Nous ne sommes à jamais que possesseurs, pour un temps. Aucune chose n’est à nous, nous aurons à la rendre au moment ultime.
Cette conscience n’est pas tragique ; au contraire, elle crée en nous un grand sentiment de liberté. Elle libère pour utiliser avec sérieux et légèreté ce que nous possédons momentanément, pour l’utiliser pour notre bien et celui la société. »