« Béni es-tu, Syméon, toi que l’Esprit a maintenu en haleine et en appétit toute une vie. Avec l’Esprit, tu fus le courageux gardien de l’espace vide que creuse en nous l’espérance ».
« Béni es-tu Syméon, toi dont l’Esprit était le fidèle compagnon, c’est lui qui te poussa au temple où tu reçus dans tes bras le début de l’accomplissement »
Cf. Marion Muller-Colard, Eclats d’Evangile, Bayard/ Labor et Fides, p.239